1. |
Froid
03:15
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Rien ne va trop vite
L’accélérateur
Rien ne va trop vite quand je me sens bien ailleurs
Tout ça moi, j’évite
Passe à d’autres coeurs
Tout ça moi, j’évite faut pas trainer là, des heures
Je t’aime, je te quitte
J’entre dans la ronde
Elle me fait tourner, tourner, changer quand ça tombe
Quand ça tombe, tombe sur nous, sur moi
C’est déjà assez, j’peux plus respirer
Rien ne me rassure, je pousse le départ
Recommencer là-bas, je recommence là-bas
Rien ne me rassure, ici, y’a nulle part
Où il ne fait pas froid
Quand c’est froid, j’suis pas là
Demain, c’est pareil
Dans les yeux de l’autre
Une lueur qui me colle et puis qui me tanne
C’est toujours pareil
Dans ses bras, je saute
Il me fait tourner, tourner et puis je me fane
Et ça tombe, tombe sur nous, sur moi
C’est déjà assez, j’peux plus respirer
Rien ne me rassure, je pousse le départ
Recommencer là-bas, je recommence là-bas
Rien ne me rassure, ici, y’a nulle part
Où il ne fait pas froid
Quand c’est froid, j’suis pas là
Rien ne me rassure
Je cherche la démesure
Quand ça tourne autour de moi
Il ne fait jamais, jamais, jamais froid
Rien ne me rassure, je pousse le départ
Recommencer là-bas, je recommence là-bas
Rien ne me rassure, ici, y’a nulle part
Où il ne fait pas froid
Quand c’est froid, j’suis pas là
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2. |
Déjà-vu
03:14
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Ça court, le temps, moi je me traine derrière
Quand ça tourbillonne, tout lâcher, je préfère
À tous les coups, je risque, j’avance, j’abandonne
Et je reprends ma place dans mes jours monotones
Contre la montre, je me débats
Contre la montre, je me raconte, je cherche la voie, il est tard, déjà Contre le temps, je me débats
Contre le temps, c’est contre moi, qu’il avancera, il est tard déjà
Ça file, défile le temps, mais j’attends
Mais j’attends, j’attends le bon moment
Je le perds, ça valait mieux hier
(Ça file, défile le temps, mais j’attends)
Mais je reste où jamais je ne me blesse
J’aurais dû, les regrets, les déjà-vus
Le déjà-vu, j’ai déjà vu, le déjà-vu
Elle sonne, sonne, l’alarme, elle me claque
Pour chaque pas derrière, c’est le plancher qui craque
Mais demain, mais peut-être, laisse-moi quelques jours
Laisse-moi ne rien faire, au sommet de ma tour
Contre la montre, je me débat
Contre le temps, c’est contre moi, qu’il avancera, il est tard déjà
Mais j’attends, j’attends le bon moment
Je le perds, ça valait mieux hier
(Ça file, défile le temps, mais j’attends)
Mais je reste où jamais je ne me blesse
J’aurais dû, les regrets, les déjà-vus
Le déjà-vu, j’ai déjà vu
Tout est plus facile, ne rien faire, qu’il défile le temps
Tout est plus facile, ne rien faire
Tout est moins fragile, un désert où je perds mon temps
Tout est moins fragile, ne rien faire
C’est facile, ne rien faire
Mais j’attends, j’attends le bon moment
Je le perds, ça valait mieux hier
(Ça file, défile le temps, mais j’attends)
Mais je reste où jamais je ne me blesse
J’aurais dû, les regrets, les déjà-vus
Le déjà-vu, j’ai déjà vu
(Ça file, défile le temps, mais j’attends)
Mais j’attends, j’attends le bon moment
Je le perds, ça valait mieux hier
(Ça file, défile le temps, mais j’attends)
Mais je reste où jamais je ne me blesse
J’aurais dû, les regrets, les déjà-vus
J’ai déjà vu
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3. |
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Elle peut voir le jour quand ses mains s’enlèvent de son visage
Bien souvent, elle court, après qui, après quoi?
Elle entend par la fenêtre, mais ne peut écrire une autre page
Elle le voit le jour, elle le voit
Comment, comment se défaire de ce qui l’attache, de ce qui se cache Sans qu’elle ne le sache
Comment, comment revenir dans ce calme plat, qu’elle a connu déjà
Elle le perd, elle le touche, le bonheur se fait lourd
Il la frôle, ne lui donne que des secondes
Quand elle se perd, elle se couche, le bonheur se fait sourd
Elle et lui, sur deux pôles, entre des milliers de secondes
Elle peut voir au loin, quand elle se concentre, qu’elle se recentre
Bien souvent, ce n’est rien, quelques pas dans la brume
Elle entend, sans reconnaitre les réponses, l’endroit où elle doit se rendre
Elle peut voir au loin, mais c’est loin
Comment, comment se défaire de ce qui l’attache, de ce qui se cache Sans qu’elle ne le sache
Comment, comment revenir dans ce calme plat, qu’elle a connu déjà
Elle le perd, elle le touche, le bonheur se fait lourd
Il la frôle, ne lui donne que des secondes
Quand elle se perd, elle se couche, le bonheur se fait sourd
Elle et lui, sur deux pôles, entre des milliers de secondes
Des milliers de secondes
Tous les bruits se confondent
“Viens me trouver quand la musique arrête
Quand les vraies lumières apparaissent”
Elle le perd, elle le touche, le bonheur se fait lourd
Il la frôle, ne lui donne que des secondes
Quand elle se perd, elle se couche, le bonheur se fait sourd
Elle et lui, sur deux pôles
Elle le perd, elle le touche, le bonheur se fait lourd
Il la frôle, ne lui donne que des secondes
Quand elle se perd, elle se couche, le bonheur se fait sourd
Elle et lui, sur deux pôles, entre des milliers de secondes
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4. |
Tu le sais
03:18
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Dis-lui dans le blanc des yeux, c’est toi qui connais
Toutes les cartes du jeu, c’est toi qui choisis le paquet
Dis-lui qu’elle est dans ta manche, la raison de vivre
Que sur tes cartes blanches, c’est toi qui écris l’avenir
(Tu sais, tu sais)
Dis-lui en plein dans les dents, c’est toi qui le sais
Fais tout changer dans les rangs, vas-y, sort la reine du paquet
(Tu sais, tu sais)
Tu le sais, bien plus fort que tu n’le montres dehors
Tu le sais, oui, bien sûr, faudra faire tomber les murs, tu le sais
Tu le sais
Tu le sais
Montre-lui le vrai du faux, monte un peu la voix
Fais-lui marcher le tempo que tu cries dans ton porte-voix
Dis-lui ce que tu entends, les sons de la rue
Même toi, ça te surprend, comme dans une pièce inconnue
(Tu sais, tu sais)
Dis-lui en plein dans les dents, c’est toi qui le sais
Fait tout changer dans les rangs, lance le paquet
Tu le sais, bien plus fort que tu n’le montres dehors
Tu le sais, oui, bien sûr, faudra faire tomber les murs, tu le sais
Tu le sais
Tu le sais
On fait comme ça, suivez bien
Faut danser le même refrain
Qu’on voit, se voile, tous, pareil
Le courage qui sommeille
Où aller, tu le sais
C’est pas gagné, tu le sais
Tu le sais, bien plus fort que tu n’le montres dehors
Tu le sais, oui, bien sûr, faudra faire tomber les murs, tu le sais
Tu le sais
Tu le sais
Tu le sais
Tu le sais
Tu le sais
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5. |
Sa couleur
02:50
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Ne tiendra qu’à un fil
On ne tiendra qu’à ce que l’on nous dira
La mire, c’est dehors
Ne touchera qu’à ce fil
On y touchera, l’effet de l’appât
On s’y prend dehors
Sa couleur
Changer sa couleur
Sa couleur
Sa couleur, l’heure
L’heure de gloire sonne et détonne
Le miroir, ça, on s’abonne
L’heure de gloire sonne et détonne
Sonne, sonne, ça détonne
L’ère de plaire prend bien sa place
Rien à faire, c’est dans la race
Qu’on veut plaire à notre masse
Plaire, plaire à sa race
Ne bougera pas sans l’autre
On ne bougera, que si l’autre en fait le choix
La mire, c’est dehors
Sa couleur, changer sa couleur
Sa couleur
Sa couleur, l’heure
L’heure de gloire sonne et détonne
Le miroir, ça, on s’abonne
L’heure de gloire sonne et détonne
Sonne, sonne, ça détonne
L’ère de plaire prend bien sa place
Rien à faire, c’est dans la race
Qu’on veut plaire à notre masse
Plaire, plaire à sa race
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6. |
Duo
03:51
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Tu reviens quand le froid s’évapore
C’est à croire que tu me cherches encore
Pour rebrancher le lien, on connait le chemin
C’est à croire qu’on se trouve encore
Elle change, la vitesse
Qu’à toi, je me laisse
Qu’à toi, je me laisse
Tout est flou quand tes mains me gagnent
Y’a que nous, tout le reste s’éloigne
Sous mon armure de verre, tu vois mon coeur ouvert
Y’a que nous, le reste s’éloigne
Elle change, la vitesse
Qu’à toi, je me laisse
Qu’à toi, je me laisse
Danse, danse, tombe la distance
Débranchés du dehors, tout se colore
Danse, danse, bien plus intense
Inspirer, expirer tout contre ta peau, duo
Danse, danse, transe, y’a urgence
Débranchés du dehors, tout se colore
Danse, danse, transe, l’impatience
Inspirer, expirer tout contre ta peau, duo
Quand s’allume la piste, le plancher
Moi, j’ai encore le souffle coupé
Sans le dire, j’ai tout compris
Les mots que t’as choisis
Ça me laisse le souffle coupé
Elle change, la vitesse
Qu’à toi, je me laisse
Qu’à toi, je me laisse
Elle change, la vitesse
Qu’à toi, je me laisse
Qu’à toi, je me laisse
Danse, danse, tombe la distance
Débranchés du dehors, tout se colore
Danse, danse, bien plus intense
Inspirer, expirer tout contre ta peau, duo
Danse, danse, transe, y’a urgence
Débranchés du dehors, tout se colore
Danse, danse, transe, l’impatience
Inspirer, expirer tout contre ta peau, duo
Y’a plus rien dehors
Ça grimpe, le tempo
Plus rien dehors, en duo
Y’a plus rien dehors
Ça grimpe, le tempo
Plus rien dehors, en duo
Danse, danse, tombe la distance
Débranchés du dehors, tout se colore
Danse, danse, bien plus intense
Inspirer, expirer tout contre ta peau, duo
Danse, danse, transe, y’a urgence
Débranchés du dehors, tout se colore
Danse, danse, transe, l’impatience
Inspirer, expirer tout contre ta peau, duo
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7. |
Danser à genoux
03:16
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Tant que le jour, à moi, sera
Tant que le froid me touchera
Sors-moi de mon lit, de ma cage
Je veux en voir de toutes les images
Tant que le rythme se déplace
Entre nous, j’ai encore ma place
Combien de jours encore
Ça, je m’en fou, oui, je m’en fou
Même si je crie plus fort
La vie s’en fou, alors je m’en fou
Quand je ne serai plus debout
Je pourrai encore danser à genoux
Quand je ne serai plus debout
Je pourrai encore danser à genoux
Quand je ne serai plus debout
Je pourrai encore danser à genoux
Blanc, mon demain, c’est le néant
Blancs, sur les murs de mon présent
Sors-moi de mon lit, de ma chambre
Je veux les voir et je veux les entendre
Tous les rythmes qui se déplacent
Dans la foule, j’ai encore ma place
Combien de jours encore
Ça, je m’en fou, oui, je m’en fou
Même si je crie plus fort
La vie s’en fou, alors je m’en fou
Quand je ne serai plus debout
Je pourrai encore danser à genoux
Quand je ne serai plus debout
Je pourrai encore danser à genoux
Quand je ne serai plus debout
Je pourrai encore danser à genoux
Même à genoux, tout s’éclaire
Même à genoux, je vois tout
Car, à genoux, tout s’éclaire
Même à genoux, je prends tout
Même à genoux, tout s’éclaire
(je pourrais encore danser à genoux)
Même à genoux, je vois tout
(je pourrais encore danser à genoux)
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8. |
À quoi tu joues?
03:16
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Tu reviens, tu repars, c’est le même élan
Au milieu de la gare, c’est moi qui t’attends
Trêve d’idéal, mon idéal sombre dans ta vie, ta double vie
C’est le feu qui m’éteint au creux de ton cou
Tu me prends, me convaincs que demain c’est nous
Trêve d’étincelle, c’est pour elle que tu as choisi ta grande vie
À quoi tu joues ?
À quoi tu joues ?
À quoi tu joues ?
À quoi tu joues ?
C’était toi, c’est à moi que le jeu revient
Quand j’avance, ça recule jusqu’au même point
Il crève le futur que je figure, je cherche mon abri, toi, c’est la pluie
À quoi tu joues ?
À quoi tu joues ?
À quoi tu joues ?
À quoi tu joues ?
S’étend, la fissure et ça dure depuis, je ne compte plus
Les autres avant toi, des rois et moi, le coeur ingénu
Tout recommence, la même danse
Tout recommence
Tout recommence, la même danse
Tout recommence
Tout recommence, la même danse
Tout recommence
À quoi tu joues ?
À quoi tu joues ?
À quoi tu joues ?
À quoi tu joues ?
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9. |
Coup bas
03:11
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Tu ne m’avais pas touchée comme ça
Depuis que je connaissais tes bras
Avatar
Inconnu
Jamais tu ne m’as touchée comme ça
Jamais depuis notre première fois
Par hasard
Tu m’a plu
Là, j’ai bien voulu qu’on se serre
Que ça ne s’arrête pas
Coup bas, Pourquoi?
Coup bas sur moi
Coup bas, Pourquoi?
Tu t’affoles, moi, au sol
Jamais tu ne me retoucheras
S’en ira, la trace de tes doigts
Ton pouvoir
Disparu
Toi, qui a voulu qu’on se serre
Mais beaucoup trop fort pour moi
Coup bas, Pourquoi
Coup bas sur moi
Coup bas, Pourquoi?
Tu t’affoles, moi, au sol
C’est la dernière fois, il n’y en aura plus
Rien ne changera, je m’en vais, t’as perdu
C’est la dernière fois, il n’y en aura plus
Ne me touche pas, je ne joue plus
Coup bas, Pourquoi?
Coup bas sur moi
Coup bas, Pourquoi?
Tu t’affoles, moi, au sol
C’est la dernière fois, il n’y en aura plus
Rien ne changera, je m’en vais, t’as perdu
C’est la dernière fois, il n’y en aura plus
Tu t’affoles, moi, au sol
Coup bas, Pourquoi?
Coup bas sur moi
Coup bas, Pourquoi?
Tu t’affoles, moi, au sol
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10. |
Aimer l'amour
03:46
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Aimer l’amour, toujours aimer l’amour
Et ça devient de plus en plus sourd
Je t’aime d’amour, toujours, t’aime d’amour trop lourd
Aimer le froid qui se pose sur toi
Quand je me tiens trop fort à ton bras
J’aime le froid entre toi et moi
Attention, c’est un danger, quand je suis là, c’est pour rester
Si la peur te prend, c’est ma folie pour toi que tu ressens
Aimer l’amour, toujours, aimer l’amour plus lourd
Je te rends fou, c’est fou, mais j’irai jusqu’au bout
Aimer l’amour, toujours, aimer l’amour plus lourd
Je te rends fou, mais j’irai jusqu’au bout de nous
Aimer le cri quand tu n’as plus envie
Du premier rôle que j’ai de ta vie
J’aime le cri quand c’est moi qui t’ennuie
Aimer la fin, quand elle n’est pas très loin
Quand on ne sait pas que sera demain
J’aime la fin, après tu reviens
Attention, c’est un danger, quand tu reviens c’est pour rester
Si la peur te prend, c’est ta folie pour moi que tu ressens
Aimer l’amour, toujours, aimer l’amour plus lourd
Je te rends fou, c’est fou, mais j’irai jusqu’au bout
Aimer l’amour, toujours, aimer l’amour plus lourd
Je te rends fou, mais j’irai jusqu’au bout de nous
Tu me diras qu’avec moi plus rien ne va
Que je dois changer celle qui te poursuit
Tu me diras que c’est bien assez pour toi
Mais au fond, tu veux de l’amour, je sais, tu aussi cours pour ça
Aimer l’amour
Aimer l’amour
Aimer l’amour, toujours, aimer l’amour plus lourd
Je te rends fou, c’est fou, mais j’irai jusqu’au bout
Aimer l’amour, toujours, aimer l’amour plus lourd
Je te rends fou, mais j’irai jusqu’au bout de nous
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11. |
Dans le même wagon
03:39
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Qu’est-ce qui se cache dans la tête?
Quand on pointe du doigt celui qui s’opposera
Pointer l’homme d’une arme, au nom de sa foi
Au nom de la loi
Qu’est-ce qui se casse dans la tête?
Faire sauter la casserole au milieu de la foule
Et puis tant pis si tu te trouvais là
Au nom de ma loi
Sur un fil invisible
Tous les coeurs indivisibles
Quand tu ouvres le feu, c’est aussi au milieu de ta maison
Une partie de soi, on est tous dans le même wagon
Qu’est-ce qui se trame dans la tête?
Quand on a pour dessein de graver sur les autres
Ses images, sa parole, comme la vérité
Déjà tracée
Qu’est-ce qui n’est plus dans la tête?
Quand on perd la raison pour ne pas perdre la face
Quand plus rien ne dérange pour laisser sa trace
Faire de la place
Sur un fil invisible
Tous les coeurs indivisibles
Quand tu ouvres le feu, c’est aussi au milieu de ta maison
Une partie de soi, on est tous dans le même wagon
Je suis une femme, une partie de l’homme
Qu’importe mon nom, je n’ai le droit de personne
Je suis un roi, je suis va-nus-pieds
J’ai besoin de l’autre, besoin d’apprendre à aimer
Je suis une femme, une partie de l’homme
Qu’importe mon nom, je n’ai le droit de personne
Je suis un roi, je suis va-nus-pieds
J’ai besoin de l’autre, besoin d’apprendre à aimer
Sur un fil invisible
Tous les coeurs indivisibles
Quand tu ouvres le feu, c’est aussi au milieu de ta maison
Une partie de soi, on est tous dans le même wagon
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12. |
Que ferons-nous?
03:55
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Le soleil perce au travers
Plus loin qu’il le voudrait
Ce que l’homme a défait
Réchauffer la Terre, fondre l’hiver
Les diamants nagent dans l’eau
Les saphirs poussent dehors
Paysage de joyaux
Voler les trésors pour faire de l’or
Mais quand, quand
Le dernier souffle aura soufflé
La dernière goutte y’aura goutté
Que ferons-nous?
Et la pluie bien trop acide
Ne tue pas les algues en trop
La nature qui décide
Prendra le taureau par sa peau
Mais comment te donner espoir?
Toi, qui arrives en dernier
Qui n’a rien à y voir
Sur tes épaules, l’humanité
Et quand, quand
Le dernier souffle aura soufflé
La dernière goutte y’aura goutté
Que ferons-nous?
Mais bien sûr, bien sûr
Je t’ouvre au monde, que ce monde s’ouvre à toi
Bien sûr, bien sûr
J’ai la foi,
La foi
Le dernier souffle n’a pas soufflé
Et goutte à goutte, tout peut changer
Le ferons-nous?
Le ferons-nous ?
Le ferons-nous ?
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13. |
Sa couleur (Mowlo Remix)
03:11
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Amay Laoni Montreal, Québec
Artiste montréalaise, créatrice d’une musique électro-pop racée, Amay Laoni (auparavant AMÉ) fait danser de la boîte de nuit
au salon, mais ne fait aucun compromis sur les textes.
Comme nulle autre, elle aborde des thèmes profonds avec une irrévérence naturelle, montrant qu’il n’y a pas dichotomie entre la musique pop et un contenu plein de richesse et de sensibilité.
... more
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