We’ve updated our Terms of Use to reflect our new entity name and address. You can review the changes here.
We’ve updated our Terms of Use. You can review the changes here.

Sa couleur (Deluxe)

by Amay Laoni

/
  • Streaming + Download

    Includes unlimited streaming via the free Bandcamp app, plus high-quality download in MP3, FLAC and more.
    Purchasable with gift card

      $10 CAD  or more

     

1.
Froid 03:15
Rien ne va trop vite L’accélérateur Rien ne va trop vite quand je me sens bien ailleurs Tout ça moi, j’évite Passe à d’autres coeurs Tout ça moi, j’évite faut pas trainer là, des heures Je t’aime, je te quitte J’entre dans la ronde Elle me fait tourner, tourner, changer quand ça tombe Quand ça tombe, tombe sur nous, sur moi C’est déjà assez, j’peux plus respirer Rien ne me rassure, je pousse le départ Recommencer là-bas, je recommence là-bas Rien ne me rassure, ici, y’a nulle part Où il ne fait pas froid Quand c’est froid, j’suis pas là Demain, c’est pareil Dans les yeux de l’autre Une lueur qui me colle et puis qui me tanne C’est toujours pareil Dans ses bras, je saute Il me fait tourner, tourner et puis je me fane Et ça tombe, tombe sur nous, sur moi C’est déjà assez, j’peux plus respirer Rien ne me rassure, je pousse le départ Recommencer là-bas, je recommence là-bas Rien ne me rassure, ici, y’a nulle part Où il ne fait pas froid Quand c’est froid, j’suis pas là Rien ne me rassure Je cherche la démesure Quand ça tourne autour de moi Il ne fait jamais, jamais, jamais froid Rien ne me rassure, je pousse le départ Recommencer là-bas, je recommence là-bas Rien ne me rassure, ici, y’a nulle part Où il ne fait pas froid Quand c’est froid, j’suis pas là
2.
Déjà-vu 03:14
Ça court, le temps, moi je me traine derrière Quand ça tourbillonne, tout lâcher, je préfère À tous les coups, je risque, j’avance, j’abandonne Et je reprends ma place dans mes jours monotones Contre la montre, je me débats Contre la montre, je me raconte, je cherche la voie, il est tard, déjà Contre le temps, je me débats Contre le temps, c’est contre moi, qu’il avancera, il est tard déjà Ça file, défile le temps, mais j’attends Mais j’attends, j’attends le bon moment Je le perds, ça valait mieux hier (Ça file, défile le temps, mais j’attends) Mais je reste où jamais je ne me blesse J’aurais dû, les regrets, les déjà-vus Le déjà-vu, j’ai déjà vu, le déjà-vu Elle sonne, sonne, l’alarme, elle me claque Pour chaque pas derrière, c’est le plancher qui craque Mais demain, mais peut-être, laisse-moi quelques jours Laisse-moi ne rien faire, au sommet de ma tour Contre la montre, je me débat Contre le temps, c’est contre moi, qu’il avancera, il est tard déjà Mais j’attends, j’attends le bon moment Je le perds, ça valait mieux hier (Ça file, défile le temps, mais j’attends) Mais je reste où jamais je ne me blesse J’aurais dû, les regrets, les déjà-vus Le déjà-vu, j’ai déjà vu Tout est plus facile, ne rien faire, qu’il défile le temps Tout est plus facile, ne rien faire Tout est moins fragile, un désert où je perds mon temps Tout est moins fragile, ne rien faire C’est facile, ne rien faire Mais j’attends, j’attends le bon moment Je le perds, ça valait mieux hier (Ça file, défile le temps, mais j’attends) Mais je reste où jamais je ne me blesse J’aurais dû, les regrets, les déjà-vus Le déjà-vu, j’ai déjà vu (Ça file, défile le temps, mais j’attends) Mais j’attends, j’attends le bon moment Je le perds, ça valait mieux hier (Ça file, défile le temps, mais j’attends) Mais je reste où jamais je ne me blesse J’aurais dû, les regrets, les déjà-vus J’ai déjà vu
3.
Elle peut voir le jour quand ses mains s’enlèvent de son visage Bien souvent, elle court, après qui, après quoi? Elle entend par la fenêtre, mais ne peut écrire une autre page Elle le voit le jour, elle le voit Comment, comment se défaire de ce qui l’attache, de ce qui se cache Sans qu’elle ne le sache Comment, comment revenir dans ce calme plat, qu’elle a connu déjà Elle le perd, elle le touche, le bonheur se fait lourd Il la frôle, ne lui donne que des secondes Quand elle se perd, elle se couche, le bonheur se fait sourd Elle et lui, sur deux pôles, entre des milliers de secondes Elle peut voir au loin, quand elle se concentre, qu’elle se recentre Bien souvent, ce n’est rien, quelques pas dans la brume Elle entend, sans reconnaitre les réponses, l’endroit où elle doit se rendre Elle peut voir au loin, mais c’est loin Comment, comment se défaire de ce qui l’attache, de ce qui se cache Sans qu’elle ne le sache Comment, comment revenir dans ce calme plat, qu’elle a connu déjà Elle le perd, elle le touche, le bonheur se fait lourd Il la frôle, ne lui donne que des secondes Quand elle se perd, elle se couche, le bonheur se fait sourd Elle et lui, sur deux pôles, entre des milliers de secondes Des milliers de secondes Tous les bruits se confondent “Viens me trouver quand la musique arrête Quand les vraies lumières apparaissent” Elle le perd, elle le touche, le bonheur se fait lourd Il la frôle, ne lui donne que des secondes Quand elle se perd, elle se couche, le bonheur se fait sourd Elle et lui, sur deux pôles Elle le perd, elle le touche, le bonheur se fait lourd Il la frôle, ne lui donne que des secondes Quand elle se perd, elle se couche, le bonheur se fait sourd Elle et lui, sur deux pôles, entre des milliers de secondes
4.
Tu le sais 03:18
Dis-lui dans le blanc des yeux, c’est toi qui connais Toutes les cartes du jeu, c’est toi qui choisis le paquet Dis-lui qu’elle est dans ta manche, la raison de vivre Que sur tes cartes blanches, c’est toi qui écris l’avenir (Tu sais, tu sais) Dis-lui en plein dans les dents, c’est toi qui le sais Fais tout changer dans les rangs, vas-y, sort la reine du paquet (Tu sais, tu sais) Tu le sais, bien plus fort que tu n’le montres dehors Tu le sais, oui, bien sûr, faudra faire tomber les murs, tu le sais Tu le sais Tu le sais Montre-lui le vrai du faux, monte un peu la voix Fais-lui marcher le tempo que tu cries dans ton porte-voix Dis-lui ce que tu entends, les sons de la rue Même toi, ça te surprend, comme dans une pièce inconnue (Tu sais, tu sais) Dis-lui en plein dans les dents, c’est toi qui le sais Fait tout changer dans les rangs, lance le paquet Tu le sais, bien plus fort que tu n’le montres dehors Tu le sais, oui, bien sûr, faudra faire tomber les murs, tu le sais Tu le sais Tu le sais On fait comme ça, suivez bien Faut danser le même refrain Qu’on voit, se voile, tous, pareil Le courage qui sommeille Où aller, tu le sais C’est pas gagné, tu le sais Tu le sais, bien plus fort que tu n’le montres dehors Tu le sais, oui, bien sûr, faudra faire tomber les murs, tu le sais Tu le sais Tu le sais Tu le sais Tu le sais Tu le sais
5.
Sa couleur 02:50
Ne tiendra qu’à un fil On ne tiendra qu’à ce que l’on nous dira La mire, c’est dehors Ne touchera qu’à ce fil On y touchera, l’effet de l’appât On s’y prend dehors Sa couleur Changer sa couleur Sa couleur Sa couleur, l’heure L’heure de gloire sonne et détonne Le miroir, ça, on s’abonne L’heure de gloire sonne et détonne Sonne, sonne, ça détonne L’ère de plaire prend bien sa place Rien à faire, c’est dans la race Qu’on veut plaire à notre masse Plaire, plaire à sa race Ne bougera pas sans l’autre On ne bougera, que si l’autre en fait le choix La mire, c’est dehors Sa couleur, changer sa couleur Sa couleur Sa couleur, l’heure L’heure de gloire sonne et détonne Le miroir, ça, on s’abonne L’heure de gloire sonne et détonne Sonne, sonne, ça détonne L’ère de plaire prend bien sa place Rien à faire, c’est dans la race Qu’on veut plaire à notre masse Plaire, plaire à sa race
6.
Duo 03:51
Tu reviens quand le froid s’évapore C’est à croire que tu me cherches encore Pour rebrancher le lien, on connait le chemin C’est à croire qu’on se trouve encore Elle change, la vitesse Qu’à toi, je me laisse Qu’à toi, je me laisse Tout est flou quand tes mains me gagnent Y’a que nous, tout le reste s’éloigne Sous mon armure de verre, tu vois mon coeur ouvert Y’a que nous, le reste s’éloigne Elle change, la vitesse Qu’à toi, je me laisse Qu’à toi, je me laisse Danse, danse, tombe la distance Débranchés du dehors, tout se colore Danse, danse, bien plus intense Inspirer, expirer tout contre ta peau, duo Danse, danse, transe, y’a urgence Débranchés du dehors, tout se colore Danse, danse, transe, l’impatience Inspirer, expirer tout contre ta peau, duo Quand s’allume la piste, le plancher Moi, j’ai encore le souffle coupé Sans le dire, j’ai tout compris Les mots que t’as choisis Ça me laisse le souffle coupé Elle change, la vitesse Qu’à toi, je me laisse Qu’à toi, je me laisse Elle change, la vitesse Qu’à toi, je me laisse Qu’à toi, je me laisse Danse, danse, tombe la distance Débranchés du dehors, tout se colore Danse, danse, bien plus intense Inspirer, expirer tout contre ta peau, duo Danse, danse, transe, y’a urgence Débranchés du dehors, tout se colore Danse, danse, transe, l’impatience Inspirer, expirer tout contre ta peau, duo Y’a plus rien dehors Ça grimpe, le tempo Plus rien dehors, en duo Y’a plus rien dehors Ça grimpe, le tempo Plus rien dehors, en duo Danse, danse, tombe la distance Débranchés du dehors, tout se colore Danse, danse, bien plus intense Inspirer, expirer tout contre ta peau, duo Danse, danse, transe, y’a urgence Débranchés du dehors, tout se colore Danse, danse, transe, l’impatience Inspirer, expirer tout contre ta peau, duo
7.
Tant que le jour, à moi, sera Tant que le froid me touchera Sors-moi de mon lit, de ma cage Je veux en voir de toutes les images Tant que le rythme se déplace Entre nous, j’ai encore ma place Combien de jours encore Ça, je m’en fou, oui, je m’en fou Même si je crie plus fort La vie s’en fou, alors je m’en fou Quand je ne serai plus debout Je pourrai encore danser à genoux Quand je ne serai plus debout Je pourrai encore danser à genoux Quand je ne serai plus debout Je pourrai encore danser à genoux Blanc, mon demain, c’est le néant Blancs, sur les murs de mon présent Sors-moi de mon lit, de ma chambre Je veux les voir et je veux les entendre Tous les rythmes qui se déplacent Dans la foule, j’ai encore ma place Combien de jours encore Ça, je m’en fou, oui, je m’en fou Même si je crie plus fort La vie s’en fou, alors je m’en fou Quand je ne serai plus debout Je pourrai encore danser à genoux Quand je ne serai plus debout Je pourrai encore danser à genoux Quand je ne serai plus debout Je pourrai encore danser à genoux Même à genoux, tout s’éclaire Même à genoux, je vois tout Car, à genoux, tout s’éclaire Même à genoux, je prends tout Même à genoux, tout s’éclaire (je pourrais encore danser à genoux) Même à genoux, je vois tout (je pourrais encore danser à genoux)
8.
Tu reviens, tu repars, c’est le même élan Au milieu de la gare, c’est moi qui t’attends Trêve d’idéal, mon idéal sombre dans ta vie, ta double vie C’est le feu qui m’éteint au creux de ton cou Tu me prends, me convaincs que demain c’est nous Trêve d’étincelle, c’est pour elle que tu as choisi ta grande vie À quoi tu joues ? À quoi tu joues ? À quoi tu joues ? À quoi tu joues ? C’était toi, c’est à moi que le jeu revient Quand j’avance, ça recule jusqu’au même point Il crève le futur que je figure, je cherche mon abri, toi, c’est la pluie À quoi tu joues ? À quoi tu joues ? À quoi tu joues ? À quoi tu joues ? S’étend, la fissure et ça dure depuis, je ne compte plus Les autres avant toi, des rois et moi, le coeur ingénu Tout recommence, la même danse Tout recommence Tout recommence, la même danse Tout recommence Tout recommence, la même danse Tout recommence À quoi tu joues ? À quoi tu joues ? À quoi tu joues ? À quoi tu joues ?
9.
Coup bas 03:11
Tu ne m’avais pas touchée comme ça Depuis que je connaissais tes bras Avatar Inconnu Jamais tu ne m’as touchée comme ça Jamais depuis notre première fois Par hasard Tu m’a plu Là, j’ai bien voulu qu’on se serre Que ça ne s’arrête pas Coup bas, Pourquoi? Coup bas sur moi Coup bas, Pourquoi? Tu t’affoles, moi, au sol Jamais tu ne me retoucheras S’en ira, la trace de tes doigts Ton pouvoir Disparu Toi, qui a voulu qu’on se serre Mais beaucoup trop fort pour moi Coup bas, Pourquoi Coup bas sur moi Coup bas, Pourquoi? Tu t’affoles, moi, au sol C’est la dernière fois, il n’y en aura plus Rien ne changera, je m’en vais, t’as perdu C’est la dernière fois, il n’y en aura plus Ne me touche pas, je ne joue plus Coup bas, Pourquoi? Coup bas sur moi Coup bas, Pourquoi? Tu t’affoles, moi, au sol C’est la dernière fois, il n’y en aura plus Rien ne changera, je m’en vais, t’as perdu C’est la dernière fois, il n’y en aura plus Tu t’affoles, moi, au sol Coup bas, Pourquoi? Coup bas sur moi Coup bas, Pourquoi? Tu t’affoles, moi, au sol
10.
Aimer l’amour, toujours aimer l’amour Et ça devient de plus en plus sourd Je t’aime d’amour, toujours, t’aime d’amour trop lourd Aimer le froid qui se pose sur toi Quand je me tiens trop fort à ton bras J’aime le froid entre toi et moi Attention, c’est un danger, quand je suis là, c’est pour rester Si la peur te prend, c’est ma folie pour toi que tu ressens Aimer l’amour, toujours, aimer l’amour plus lourd Je te rends fou, c’est fou, mais j’irai jusqu’au bout Aimer l’amour, toujours, aimer l’amour plus lourd Je te rends fou, mais j’irai jusqu’au bout de nous Aimer le cri quand tu n’as plus envie Du premier rôle que j’ai de ta vie J’aime le cri quand c’est moi qui t’ennuie Aimer la fin, quand elle n’est pas très loin Quand on ne sait pas que sera demain J’aime la fin, après tu reviens Attention, c’est un danger, quand tu reviens c’est pour rester Si la peur te prend, c’est ta folie pour moi que tu ressens Aimer l’amour, toujours, aimer l’amour plus lourd Je te rends fou, c’est fou, mais j’irai jusqu’au bout Aimer l’amour, toujours, aimer l’amour plus lourd Je te rends fou, mais j’irai jusqu’au bout de nous Tu me diras qu’avec moi plus rien ne va Que je dois changer celle qui te poursuit Tu me diras que c’est bien assez pour toi Mais au fond, tu veux de l’amour, je sais, tu aussi cours pour ça Aimer l’amour Aimer l’amour Aimer l’amour, toujours, aimer l’amour plus lourd Je te rends fou, c’est fou, mais j’irai jusqu’au bout Aimer l’amour, toujours, aimer l’amour plus lourd Je te rends fou, mais j’irai jusqu’au bout de nous
11.
Qu’est-ce qui se cache dans la tête? Quand on pointe du doigt celui qui s’opposera Pointer l’homme d’une arme, au nom de sa foi Au nom de la loi Qu’est-ce qui se casse dans la tête? Faire sauter la casserole au milieu de la foule Et puis tant pis si tu te trouvais là Au nom de ma loi Sur un fil invisible Tous les coeurs indivisibles Quand tu ouvres le feu, c’est aussi au milieu de ta maison Une partie de soi, on est tous dans le même wagon Qu’est-ce qui se trame dans la tête? Quand on a pour dessein de graver sur les autres Ses images, sa parole, comme la vérité Déjà tracée Qu’est-ce qui n’est plus dans la tête? Quand on perd la raison pour ne pas perdre la face Quand plus rien ne dérange pour laisser sa trace Faire de la place Sur un fil invisible Tous les coeurs indivisibles Quand tu ouvres le feu, c’est aussi au milieu de ta maison Une partie de soi, on est tous dans le même wagon Je suis une femme, une partie de l’homme Qu’importe mon nom, je n’ai le droit de personne Je suis un roi, je suis va-nus-pieds J’ai besoin de l’autre, besoin d’apprendre à aimer Je suis une femme, une partie de l’homme Qu’importe mon nom, je n’ai le droit de personne Je suis un roi, je suis va-nus-pieds J’ai besoin de l’autre, besoin d’apprendre à aimer Sur un fil invisible Tous les coeurs indivisibles Quand tu ouvres le feu, c’est aussi au milieu de ta maison Une partie de soi, on est tous dans le même wagon
12.
Le soleil perce au travers Plus loin qu’il le voudrait Ce que l’homme a défait Réchauffer la Terre, fondre l’hiver Les diamants nagent dans l’eau Les saphirs poussent dehors Paysage de joyaux Voler les trésors pour faire de l’or Mais quand, quand Le dernier souffle aura soufflé La dernière goutte y’aura goutté Que ferons-nous? Et la pluie bien trop acide Ne tue pas les algues en trop La nature qui décide Prendra le taureau par sa peau Mais comment te donner espoir? Toi, qui arrives en dernier Qui n’a rien à y voir Sur tes épaules, l’humanité Et quand, quand Le dernier souffle aura soufflé La dernière goutte y’aura goutté Que ferons-nous? Mais bien sûr, bien sûr Je t’ouvre au monde, que ce monde s’ouvre à toi Bien sûr, bien sûr J’ai la foi, La foi Le dernier souffle n’a pas soufflé Et goutte à goutte, tout peut changer Le ferons-nous? Le ferons-nous ? Le ferons-nous ?
13.
14.
Le Vertige 02:28
C’est le vertige Ne plus taire, mais j’ai le vertige Le vertige Je dois le faire, mais j’ai le vertige Ça se bat, se débat entre moi et puis l’autre Qui joue dans ma tête Je me bat contre moi, contre celle que je n’suis pas Mais c’est moi, c’est ma faute, cette moi qui est l’autre Je l’ai dans la tête Comment faire le saut Faire le saut d’en haut ? Le vertige Quand la foule s’approche autant Le vertige Quand dans la foule, seule, je m’y perds dedans Le vertige Je le veux, et le fuis tous le temps Le vertige, le vertige J’ai le vertige Tout foutre en l’aire Car j’ai le vertige , ohh Le vertige C’est comme hier Je sens le vertige Je me bat, me débat car il n’y a que moi Qui joue dans ma tête Comment faire le saut Faire le saut, d’en haut ? Le vertige Quand la foule s’approche autant Le vertige Quand dans la foule, seule, je m’y perds dedans Le vertige Je le veut, et le fuis tous le temps Le vertige, le vertige Comment faire le saut, faire le saut Comment faire le saut, faire le saut Comment faire le saut, faire le saut D’en haut, d’en haut, d’en haut, d’en haut Le vertige Quand la foule s’approche autant Le vertige Quand dans la foule, seule, je m’y perds dedans Le vertige Je le veut, et le fuis tous le temps Le vertige, le vertige
15.
16.
17.
18.

credits

released April 5, 2019

license

all rights reserved

tags

about

Amay Laoni Montreal, Québec

Artiste montréalaise, créatrice d’une musique électro-pop racée, Amay Laoni (auparavant AMÉ) fait danser de la boîte de nuit au salon, mais ne fait aucun compromis sur les textes.
Comme nulle autre, elle aborde des thèmes profonds avec une irrévérence naturelle, montrant qu’il n’y a pas dichotomie entre la musique pop et un contenu plein de richesse et de sensibilité.
... more

shows

contact / help

Contact Amay Laoni

Streaming and
Download help

Redeem code

Report this album or account

If you like Amay Laoni, you may also like: